Encore appelé Hôtel-Dieu, les Hospices de Beaune sont des logements flamboyants conçus selon un style gothique. Ils disposent en effet de toiture conçue en tuile recouverte de vernis provenant de Bourgogne. Retrouvez ci-dessous des informations supplémentaires sur ce trésor monumental inspiré de l'architecture traditionnelle de la région de Bourgogne.
L'historique de ce merveilleux trésor mondial
C'est dans les années 1441 que le couple Rolin eurent cette fabuleuse initiative de fonder l'hôtel-Dieu. Après avoir longuement tergiverser sur la ville à choisir pour mettre en place leur projet, Nicolas Rolin et sa femme Guigone de Salins construisent leur fabuleux hôtel non loin de l'église qui réunit un collègue de chanoines Notre-Dame de situé à Beaune au xiie siècle au détriment d'Autun. D'après la page ci-après https://www.qualitracegh.com/ , plusieurs raisons expliquent leur choix : l'important taux de visite enregistré dans la ville, de même que le faible taux de présence des fondations religieuses. Par ailleurs, on note aussi dans la région une forte influence qui jusqu'à la Néerlande. À l'entame des démarches de la construction de l'hôtel-Dieu, le chancelier de la contrée reçut le soutien indéfectible du duc et du pape de Bourgogne. L'acte de fondation fut signé le 4 août 1443.
Quelles sont les pièces importantes qui composent ce somptueux Hôtel-Dieu ?
Comme la majorité des hôtels, le majestueux hôtel-Dieu dispose d'une multitude de pièces toutes aussi ravissantes l'une que l'autre. En premier lieu, il y a sa façade extérieure riche en décoration, plus précisément au niveau de la cour centrale. Cette magnifique façade dispose de toits conçus avec des tuiles bien connues et révélant une marque de distinction de cette contrée. Ensuite, il y a la cour intérieure construite en forme rectangulaire et comportant un puits inspiré de l'art des ferronniers de Goth. Il y a aussi la chapelle qui fait absolument partie de la salle des pôvres. Elle a autrefois été décorée par le célèbre peintre flamand Rogier van der Weyden. Elle était uniquement ouverte les dimanches ou pendant les fêtes solennelles. On compte aussi dans le lot des pièces importantes des Hospices de Beaune, la grande salle des pôvres et aussi la salle Saint-Hugues. Ces deux dernières pièces ont aussi des places vraiment capitales dans cet incroyable hôtel fondé par le chancelier Rolin.